Ce que devrait être l’OMS

3 mars 2007

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LA POLITIQUE ...DU CRABE !
Ce qui devrait être - Théorie(Ce qui est vrai pour l’OMS l’est pour l’ensemble du système des Nations Unies en général) Situation actuelle- en pratiqueLes organisations des nations unies sont devenues en grande partie ’rpivatisées’ : les grandes corporations définissent les priorités et les grands pays donateurs payent pour LEUR projet favori.En 2002, lors d’une session sur le People’s Health Movement’ avec le Directeur Général de la Santé Dr Gro Harlem Bruntland, le fondateur Bangladeshi du PHM, Dr Zaffruhla Chowdhury, sur un ton rappelant le célèbre discours de Martin Luther King, commença ainsi son discours « J’ai fait un rêve... l’OMS avait été privatisée.. »
Les pays réunis ‘Nations Unies’ décident unanimement, par consensus, de la politique de santé internationale.Les grandes options et le budget sont discutés dans le « Bureau exécutif »Puis approuvées par l’Assemblée Mondiale de la Santé) qui se réunit tous les ans au mois de mai.Le principe d’une voix, un vote s’applique. La politique en santé et les priorités sont définies par de petits cerclesen fonctions d’intérêts privés ou du moins intérêts restreints (obésité Vs eau potable-maladies diarrhéiques.) :1- e « kitchen cabinet »- OMS-Banque Mondiale Banque mondiale
BM La Banque mondiale regroupe deux organisations, la BIRD (Banque internationale pour la reconstruction et le développement) et l’AID (Association internationale de développement). La Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) a été créée en juillet 1944 à Bretton Woods (États-Unis), à l’initiative de 45 pays réunis pour la première Conférence monétaire et financière des Nations unies.

En 2022, 189 pays en sont membres.

Cliquez pour plus de détails. -FMI FMI
Fonds monétaire international Le FMI a été créé en 1944 à Bretton Woods (avec la Banque mondiale, son institution jumelle). Son but était de stabiliser le système financier international en réglementant la circulation des capitaux.

À ce jour, 190 pays en sont membres (les mêmes qu’à la Banque mondiale).

Cliquez pour plus de détails.  » (Kitchen Cabinet fut le titre du Cabinet restreint -de guerre- - créé par Churchill. Ce terme fut utilisé par un des dirigeants de la Banque Mondiale au Palais des Nations.2- un petit group dans le G7 G7 Groupe informel réunissant : Allemagne, Canada, États-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon. Leurs chefs d’État se réunissent chaque année généralement fin juin, début juillet. Le G7 s’est réuni la première fois en 1975 à l’initiative du président français, Valéry Giscard d’Estaing. (notamment l’axe Royaume Uni-USA)un mini Davos de la Santé, avec la Fondation Bill et Melinda Gates, les industries de la pharmacie et équipements médicaux (industries dont les CEO disent que ce sont, de loin, le secteur le plus profitable au monde -Il est des molécules qui rapportent ½ milliard de USD/un an)
Le budget est voté et alloué selon les priorités définies en commun.100/100 du budget va aux priorités mondiales,Comme il est normalement la règle, une petite portion va à l’administration, la plus grosse partie va aux experts techniques et scentifiques. Les Directeurs généraux de l’OMS : J-W. Lee, avant lui Gro Harlem Brundtland, avant elle : Nakajima- depuis 14 ans, depuis 1990, ont assisté à une transformation de l’OMS : d’une organisation des Nations Unies, elle devient progresivement un simple Fond des Nations Unies !Car le budget ‘central’ se rétrécit, environ 13% aujourd’hui, les projets particuliers « spéciaux » choisis, spécifiques, hochet de tel ou tel intérêt, sont devenus la norme, avec plus de 86 % du budget actuel.De surcroît, plus de 60% du budget va sur des postes administratifs et 40% sur les ‘postes d’expertise technique’. Car l’OMS passe son temps à chercher des financements..Donc un proportion minuscule DU BUDGET TOTAL dessert les priorités décidées pour 90% des habitants de la planète.Alors on crée encore plus de programmes ‘privés’ du genre : maladies négligées, en parlant de ‘market failure’- échec du marché - à propos de ces dernières.En janvier 2007 le nouveau directeur général de l’OMS, la doctoresse chinoise Dr Chan a demandé une augmentation - ce qui lui a été refusé- du budget total, et elle a proposé un système de contributions volontaires au budget central, - pour augmenter ce fameux 13%- ce qui fut accepté par le Bureau exécutif.
La décentralisation
Les Priorités
Les maladies prioritaires sont décidées en fonction de la situation dans l’ensemble des pays.La politique du médicament est défini par rapport aux besoins des pays et de l’ensemble des populations, et non par rapport à ce que l’industrie considère comme le plus profitable. La majorité des pays pauvre et en développement réclame une résolution sur l’USAGE RATIONNEL DU MEDICAMENT » Les priorités sont définies par de petits groupes « d’experts », souvent extérieurs à l’OMS en partenariat (sous l’influence de) l’industrie.Par exemple, le rapport « Médecines prioritaires pour l’Europe et le monde » mets en avant ces médicaments qui rapporteraient le plus avec des patients, que l’on pourrait dire ’captifs’ - crises cardiaques des personnes âgées, maladies mentales - réelles ou inventées, (le cas de la ritaline, pour le syndrome d’hyperactivité retrouvé partout, surtout dans les écoles à problèmes des quartiers noirs-américains) ou bien le cas de la résistance aux antibiotiques- cela sans prendre en compte l’effondrement de la santé publique en Europe de l’Est ou l’abandon de l’hygiène hospitalière scientifique par la sous-traitance dans les systèmes hospitaliers dans le G7.On prétend que l’industrie pharmaceutique US serait plus compétitive et ferait plus de ‘découvertes ‘ qu’en Europe, alors on propose de faire du FINANCEMENT PUBLIC par l’UE pour que les industriels réussissent à mettre sur le marché les molécules qui leur rapporteront le plus !En ce mois de janvier 2007, finalement, une résolution sur l’usage rationnel du médicament est passée, parce que plusieurs pays, dont le Brésil, le Sri Lanka, la Thaïland, le Kenya, l’Afrique du Sud ont entrepris de se battre ensemble contre la délégation des Etats Unis qui s’opposait à l’idée d’organismes étatiques mettant en place, dans chaque pays, un système rationnel pour une utilisation des médicaments essentiels.La performance des délégués US, arguant avec l’industrie, qu’il ne saurait y avoir « la même pointure pour tous » apparaît vraiment symbolique d’un secteur privé devenu un peu fou dans la gestion pour le profit à court terme à n’importe quel prix. En effet seul, la mise en œuvre d’une politique rationnelle du médicament pourra lutter contre la contrefaçon et apporter aux populations pauvres le minimum de soins, qui à terme, en fera une population à même de se payer les médicaments de dernière génération.En tout cas, tous les acteurs de cette bagarre épique, prévoit un nouvel épisode lorsque cette Résolution votée au Bureau Exécutif de janvier, arrivera pour un vote finale à l’Assemblée Mondiale de la Santé en mai 2007.
Les « STATISTIQUES »
Evidenced-based - basé sur les faits ? Basés sur les preuves ? Les statistiques sont des estimations à la louche, basées sur des modèles mathématiques ou des besoins politiques. Les statistiques des Nations Unies en général et de l’OMS en particulier sont des estimations pour la plupart, elles varient en fonction de choix politiques, tandis que les plus extrêmes des néo-libéraux n’ont que le mot « evidence based » à la bouche !
Les politiques doivent être ancrées sur des « faits », des « données » des « preuves »On appelle cela « Evidence-based ». Le mot « evidence-based » est tellement à la mode que cela devient comiqueEntendu la semaine dernière dans une réunion de haut niveau :« Evidenced-based measurements » Il s’agit d’un contresens fort drôle (d’ailleurs fait par une Française à l’OMS). « Des mesures basées sur des faits- des preuves »- c’est le monde à l’envers ! Est-ce parce que parfois à l’OMS on est des as de la mesure (statistique) VIRTUELLE  ? A l’OMS, on mesure les preuves et on sous pèse les virtuelles estimations !Entendu de la bouche d’un haut responsable de l’UNICEF : « V enant de l’agriculture, Mme Veneman, je la connais comme une evidence-based person ... » (Une personne basée sur les faits prouvés, c’est quand même plus tangible qu’une personne basée sur le virtuel, non ? - Est ce son passage dans l’Administration Bush qui lui donna ’du concret’ ? Le langage d’influence néolibéral est générateurs de contre sense :Les « established market economies » sont celles où il y a le moins de maladies. Mais est ce que dans l’UE on est dans des pays où le marché est bien établi ? et l’Etat a disparu ? Heureusement que non. D’ailleurs tous les systèmes de santé de l’Europe continentales sont dirigés par les Etats.
LA PUB PRODUIT
Les Nations Unies imposent les priorités de Santé Publique et les pays passent des lois protégeant le publique, et réglementant le privé de façon à ce qu’il se conforme au bien commun. Des corporations et intérêts privés manipulent l’agenda de façon à ce que tel ou tel programme OMS remplissent LEURS BESOINS en promotion pour tel ou tel pillule ou tel ou tel produit spécifique.L’exemple des petits poissons d’après un quidam dentiste : L’environnement est un thème porteur, et d’ailleurs porté par l’industrie. Il était une fois un petit malin qui inventa une machine à aspirer et recycler les ‘plombages dentaires’. Les plombages peuvent être délétères pour la santé- c’est connu depuis un siècle de par les métaux contenus. Alors une étude montra que le rejets des plombages dans les eaux du Rhône étaient dangereux pour les petits poissons... Pourquoi le mettre encore dans les dents si cela peut créer des démences ? Parce que la céramique c’est trop cher pour la sécu. Mais alors comment faire ? Faire écrire un rapport d’experts mettant en relief la nécessité de RECYCLER tout en relativisant le danger pour les humains. En clair : avoir des plombages dans toute la bouche à vie, c’est pas grave pour les humains, mais avoir un milliardième de plombs dans les eaux usées, c’est grave pour les poissons ! Ensuite, faire passer une loi au parlement, et obliger les dentistes à recycler les plombages et dont à acheter la fameuse machine. » -L’exemple de KERALA : La Banque Mondiale s’unit avec UNILEVER pour une campagne avec accord avec le gov’t de Kerala en Inde pour promouvoir l’hygiène par l’usage du savon.Comme par hasard, Unilever a de grosses unités de production de savon en Inde.Les ONG bloquent l’accord à Kerala et propose un campagne de la Banque pour arrêter l’usage du papier toilette dans les pays du G7. Pour l’Inde, les ONG disent : une campagne et un programme pour instaurer des latrines serait un grand programme pour améliorer l’hygiène et la santé publique !
Priorité selon J.W. Lee et les pays :LES RESSOURCES HUMAINESCad l’effondrement des services de santé dues aux PAS est tel qu’aucun programme de santé ne peut, en réalité, être opérationnel, puisqu’il n’y a plus de services dans les pays et régions les plus pauvres. Il faut les reconstruire pour agir. Moins de 2% du budget OMS total va aux questions des ressources humaines.Il y a environ deux personnes au QG sur cette questionLes pays du G7 refusent de prendre des mesures pour calmer l’immigration de personnel de santé des pays en développement.Par exemple :Une grosse boite de ‘santé’ US s’installe avec un stand dans le bloc opératoire d’un hôpital en Uganda : le bandeau publicitaire annonce : recrutons anesthésistes pour les USA- carte verte accordée- excellentes conditions de travail et salaires.Au stand on recrute sur place : on propose de faire à leur place tous les papiers d’immigration, on propose des salaires 10 fois, 100 fois les salaires locaux.Le lendemain : le bloc opératoire ferme ses portes, les trois anesthésistes sont partis.Même scénario dans le couloir d’un hôpital de Nairobi, cette fois ci c’est des infirmières qu’on recrute. Le poster géant annonce des salaires mirobolants...Le surlendemain, l’hôpital a perdu plus de la moitié des infirmières..Celle qui restent et ne partent pas aux USA ou en Angleterre sont souvent séropositives VIH+, or celles là, elle peuvent bien rester au pays on n’en veut pas.L’OMC OMC
Organisation mondiale du commerce Créée le 1er janvier 1995 en remplacement du GATT. Son rôle est d’assurer qu’aucun de ses membres ne se livre à un quelconque protectionnisme, afin d’accélérer la libéralisation mondiale des échanges commerciaux et favoriser les stratégies des multinationales. Elle est dotée d’un tribunal international (l’Organe de règlement des différends) jugeant les éventuelles violations de son texte fondateur de Marrakech.

L’OMC fonctionne selon le mode « un pays – une voix » mais les délégués des pays du Sud ne font pas le poids face aux tonnes de documents à étudier, à l’armée de fonctionnaires, avocats, etc. des pays du Nord. Les décisions se prennent entre puissants dans les « green rooms ».

Site : www.wto.org -GATS impose la liberté y compris dans les transferts de personnes.Donc si des pays veulent limiter l’exode de personnes qui leur attribue des ‘points’ contre quoi ils peuvent obtenir des ‘avantages’ en contrepartie, ils s’exposent à des sanctions ou des pertes Certains malins proposent que les pays fabrique du personnel et les « vendent »
LE MARKETING ET LE COMPORTEMENT
Le SIDA, tuberculose, ou paludismeL’OMS a derrière elle toute l’histoire de la médecine depuis Pasteur au moins dans son action Action
Actions Valeur mobilière émise par une société par actions. Ce titre représente une fraction du capital social. Il donne au titulaire (l’actionnaire) le droit notamment de recevoir une part des bénéfices distribués (le dividende) et de participer aux assemblées générales. dans les zones tropicales : épidémiologie, expérience dans le contrôle des grandes endémies (OCEAC et OCCGE), contrôle des vecteurs, gestion de l’eau à des fins sanitaires, gestion des déchets, systèmes de lutte contre les maladies infectieuses, expériences des système de soins primaires et secondaire, recherche, etc. 		Expérimentation avec le « marketing » du comportement..Aujourd’hui toute maladie devient une question d’information, éducation et communication (IEC).Au Moyen Age aussi comme dans les sociétés où il y a de la sorcellerie : l’individu ou ses ancêtres sont « coupables »- ils ont péché !! et c’est pour cela qu’ils sont infirmes, malades etc. Des SORCIERES !Dans le SIDA on a joué sur l’attraction et la peur liées au sexe.Parler même à des gens éduqués, même des experts de la santé publique, du SIDA en Afrique : le rictus rougissant on vous rappelle que les Africains sont de grands baiseurs.. haha, que vous savez là bas...haha, on a moins de retenu haha.Alors les rapports sur la santé globale vous disent souvent, BM, OMS, fondations associées, analyses de tout poil, que le plus gros « fardeau de maladies » comme on dit - est en Afrique, et que le plus important « facteur de risque » pour contracter une maladie, c’est le sexe pas sûr- cad que les gens ont plein de rapports sexuel de façon irresponsables... sans capotes !Même à gauche, à l’extrême gauche, les gens - jeunes par exemple- sont tellement attirés par les thèmes sexuels, qu’ils ne voient pas la farce SIDA.Une maladie terrible mais ordinaireUn virus à diffusion hématogène - par le sang - notion qui revint dans le rapport 2003 sur ls Santé dans le Monde, réduit à une maladie SEXUELLE ! Un premier monde- le notre- où on applique les précautions universelles et on nettoie - avec quelque retard- les Banques de Sang. On ne réutilise jamais les seringues souillées - Un Tiers-quart monde ou les pauvres se partagent des seringues tous les jours dans les centres de soins et les communautés fautes de moyens.Le cas des drogués par IV qui se transmettent le VIH en partageant les seringues sont connus dans le monde entier - on leur propose des programmes d’échange de seringues.A QUAND DES PROGRAMMES DE SERINGUES PROPRES pour les 8 MILLIARDS D’INJECTIONS AVEC DES SERINGUES SALES DANS LE MONDE ?Des campagnes de vaccination et d’immunisations propre chez nous, pays riches, mais 40% sont ’impropres’ sans sécurité au niveau mondiale. C’est à dire que dans les pays les plus pauvres et m^me les pays à revenu intermédiaire une très grosse partie des immunisations sont sales (Cas de l’Egypte qui a un énorme fardeau d’Hépatite C à cause d’une campagne d’immunisation contre la shistosomiase par l’UNICEF avec des seringues sales il y a quelques années.
LA FIN DES NATIONS UNIES ?
La Banque Mondiale s’est intéressée à la santé en 1983 et en a reprit totalement le contrôle dix ans plus tard.L’homme brillant, qui a eu cette idée et a dirigé un programme Population et Santé à la Banque, c’est Richard Feachem, aujourd’hui directeur du GFATM.Feachem l’a dit « WTO IS GOOD FOR YOU » ajoutant que tous les personnels de santé devraient soutenir l’OMC, qui, seule, permettra l’arrivée d’un libre marché à même de supprimer la corruption des services publiques inefficaces..! En pratique les programmes comme le FOND contribuent à la destruction des services de santé nationaux et à la mise en place d’un système globalisé, dirigé par les institutions financières et l’OMC.
POUR les Nations Unies CONTRE
Il faut défendre les NU - l’OMS et même proposer de l’agrandirplus de moyens budgétairesplus de transparencemoins de choix des copains, ou des produits de 3 ou 4 universités anglo-saxonnes à la modeun siège entier à l’OMCun rôle important pour définir ce qui est bon et pas bon pour la santéREPRENDRE LE CONTROL des programmes sanitaires mondiaux comme le SIDA, le re-médicaliser. La gauche fait campagne contre les PPP -Partenariat Public-Privés, voir Judith Richter et autres.L’extrême droite (fightingdiseases) se moque des prétentions de la BM sur l’EQUITE, en disant que les maladies sont dues à la pauvreté pas à l’inéquité- Évidemment juste- mais là ils divergent pour en appeler à « libérer les pauvres » du méchant ‘services publiques et contrôle étatiques’ pour le bonheur de la libre entreprise.Dans le Bangkok Times la semaine dernière, on a proposé qu’après tout, les NU ayant été incapables de s’entendre sur une seule question, il faudrait voir à remplacer le système par la « conférence des démocraties » qui réunie déjà 106 pays. Vous voyez l’avenir vous ?
LE CRABE avance en reculantLE CRABE ne s’immobilise que quand il est vide.Les différentes organisations des Nations Unies comme l’OMS sont en passe de devenir des coquilles vides. C’est la même chose pour nos Etats.L’Etat est toujours là mais il a été vidé de sa substance, tout est devenu « privatisé ».Comme avec les services de santé du Salvador, il y a eu sous-traitancegraduel, comme un animal qu’on extirpe de sa coquille.
Objectifs du Millénaire ? La Croissance - + objectifs SANTE-MDG Les Objectifs du Millénaire dans leur mise en œuvre demande que les pays accepte les diktats macroéconomiques du FMI et de la Banque Mondiale comme condition pour l’obtention d’une aide pour la santé, contre la pauvreté etcLes Objectifs du Millénaire constituent ainsi un programme CRABE pour faire semblant d’avancer alors que l’on recule.. avec des centaines de millions de morts à l’horizon VIH-tuberculose-palu. ON EST EN PLEINE DECROISSANCE, C’EST AUSSI ce qu’on appelle DEVELOPMENT DURABLE.