Le 12 février sera rendu le verdict de l’affaire Mawda par le tribunal de Mons en Belgique. Pourtant, de très nombreuses zones d’ombre entourent cette affaire. Selon Martin Vander Elst, membre de « Justice et Vérité pour Mawda », cette procédure judiciaire s’apparente à un « faux procès », qui laisse ostensiblement de côté les bavures et les mensonges du monde judiciaire et de la police belge pour ne pas devoir remettre en cause une politique migratoire mortifère.
Romain Compère l’a interviewé.
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philosophe, chercheur au Laboratoire d’anthropologie prospective de l’UCL (aspirant FNRS) et membre fondateur du séminaire Migrations et luttes sociales.
Martin Vander Elst a réalisé une enquête ethnographique au Musée royal de l’Afrique centrale sur le processus de « rénovation » de septembre 2014 à juin 2015 : « La colonialité du savoir, au prisme de la muséologie (post)coloniale, l’exemple de la « rénovation » du MRAC ».
Il est aussi membre de « Justice et Vérité pour Mawda ».